Titre : Albator corsaire de l’espace
Titre original : Uchū Kaizoku Kyaputen Hārokku
Réalisateur : Shinji Aramaki
Acteurs principaux : Shun Oguri, Haruma Miura, Yû Aoi
Nationalité : japonais
Sortie le : 25 décembre 2014
Durée : 1h55
Prix : 25€
Genre : animation, aventure
Résumé : 2977. Albator, capitaine du vaisseau Arcadia, est un corsaire de l’espace. Il est condamné à mort, mais reste insaisissable. Le jeune Yama, envoyé en mission, s’infiltre dans l’Arcadia, alors qu’Albator décide d’entrer en guerre contre la Coalition Gaia afin de défendre sa planète d’origine.
Critique : C’est la première fois que je regardais Albator et je dois dire que j’ai aimé ce film. Bien sur je suppose que ce n’est pas comme la série et qu’il y a beaucoup de passages absents, mais il m’a semblé que le film était fidèle à l’opinion que je m’en étais faite.
Donc parlons un peu de l’histoire. L’histoire est centrée sur le capitaine de l’Arcadia, le plus grand corsaire de l’espace. Il se bat pour sauver sa planète d’origine. Celle-ci est désormais interdite d’humain car elle n’a plus assez de ressources. Albator décide d’attaquer la Coalition Gaia au nom de la liberté. Mais à ce moment là le jeune Yama c’est infiltré dans l’Arcadia avec une mission très importante…
Dès le début de l’histoire j’ai accroché. L’univers est dynamique, et pour une fois je trouve que la 3D rend assez bien. Le graphisme (en images de synthèses) est soigné, ce qui donne un coup de jeune à la série. Le design est assez sombre et agressif, ce qui donne du caractère au film. Le personnage d’Albator, qui est, vous l’aurez compris le héros est un personnage assez secret au passé torturé. Il est le leader d’un groupe défendant la liberté et son charisme plane tout au long du film. Cependant j’ai eu l’impression qu’il était plus une ombre q’un personnage réel. Je dirais même qu’il est comme une légende car plusieurs fois on entend dire qu’Albator est immortel. Du coup lorsque je l’ai vu pour la première fois, j’ai été surprise et émerveillée de découvrir un personnage assez sensible et qui culpabilise d’un passé trouble.
Enfin j’ajouterais que la BO est tout simplement magnifique ! Les passages d’actions sont très bien mis en valeur par la musique tout comme les passages émouvants.
Bref j’ai été sous le charme de ce capitaine sombre mais sensible à la fois. Une prochaine chronique sur la série peut être… Qui sait ce que nous réserve l’avenir ?